Jane WYMAN
Nom
de Naissance : Sarah Jane MAYFIELD
Née
le : Vendredi 5 Janvier 1917
Lieu
de naissance : St. Joseph (Comté : Buchanan ;
État : Missouri ; Pays : États-Unis d'Amérique)
Décédée
le : Lundi 10 Septembre 2007
Lieu
de décès : Rancho Mirage (Comté : Riverside ; État :
Californie ; Pays : États-Unis d'Amérique)
Causes
du décès : En principe de mort naturelle (sa santé
était déclinante depuis de nombreuses années).
Lieu
d'Inhumation : Cimetière "Forest Lawn
Cemetery", Cathedral City (Comté : Riverside ; État : Californie ; Pays :
États-Unis d'Amérique)
Liens
Familiaux
Ex-Épouse
de :
I. Ernst Eugene WYMAN.
Mariés
le : 8 Avril 1933. Divorcés
en : 1935. (*Cette union n'est pas avérée).
II. Myron FUTTERMAN.
Fabricant de vêtements américain.
Mariés
le : 29 Juin 1937. Divorcés
le : 1er Novembre 1938.
III. Ronald REAGAN.
Acteur américain... puis 40ème Président des États-Unis d'Amérique entre 1981
et 1989. Nom de naissance
: Ronald Wilson REAGAN. Né le
: 6 Février 1911. Lieu de naissance
: Tampico (Comté : Whiteside ; État : Illinois ; Pays : États-Unis d'Amérique).
Décédé le
: 5 Juin 2004. Lieu de décès
: Bel Air, Los Angeles (Comté : Los Angeles ; État : Californie ; Pays :
États-Unis d'Amérique). Causes du
décès : D'une pneumonie et des suites de la maladie
d'Alzheimer.
Mariés
le : 26 Janvier 1940. Divorcés
le : 28 Juin 1948.
Enfants
:
1. Maureen REAGAN.
Actrice et chanteuse occasionnelle. Nom
de naissance : Maureen Elizabeth REAGAN. Née
le : 4 Janvier 1941. Lieu
de naissance : Los Angeles (Comté : Los Angeles
; État : Californie ; Pays : États-Unis d'Amérique). Décédée
le : 8 Août 2001. Lieu
de décès : Granite Bay (Comté : Placer ; État :
Californie ; Pays : États-Unis d'Amérique). Causes
du décès : D'un mélanome.
2. Michael REAGAN.
Acteur occasionnel et animateur de radio. Nom
de naissance : Michael Edward REAGAN. Né
le : 18 Mars 1945 (adopté). Lieu
de naissance : Los Angeles (Comté : Los Angeles
; État : Californie ; Pays : États-Unis d'Amérique).
3. Christine REAGAN. Née
et décédée en : 1947 (née prématurée, elle
décéda le lendemain).
IV & V. Fred
KARGER. Chef d'orchestre, compositeur et parolier américain. Né
le : 13 Février 1916. Lieu
de naissance : ?. Décédé
le : 5 Août 1979. Lieu
de décès : Santa Monica (Comté : Los Angeles ; État :
Californie ; Pays : États-Unis d'Amérique). Causes
du décès : En principe de mort naturelle (sans autre
précision).
Mariés
le : 1er Novembre 1952. Divorcés
le : 7 Décembre 1954.
Remariés
le : 11 Mars 1961. Redivorcés
le : 9 Mars 1965.
ACTRICE AMÉRICAINE
BIOGRAPHIE
Jane WYMAN ou la "ménagère pas si
désespérée"... La frange était certes trop régulière, les pommettes trop
saillantes et la silhouette trop sage pour qu'on l'eût trouvé vraiment jolie,
au regard de bien d'autres actrices de sa génération ; de fait, elle semblait
le miroir éclatant de la ménagère américaine modèle des années 40 et 50,
l'épouse fidèle qui récure la maison, torche les marmots avec le même sourire
figé, s'extasie devant la dernière réclame télévisée pour une savonnette
miracle, tout en pensant rêveuse qu'elle a bien de la chance d'avoir un mari
prévenant, quand celui-ci l'informe immanquablement chaque vendredi soir qu'il
rentrera plus tard, parce son patron lui a encore donné au dernier moment une
pile de dossiers à éplucher...
Et, du reste, ses meilleurs rôles sur grand écran s'ingénient
à statufier l'image d'une actrice trop lisse, tantôt femme au foyer, tantôt
gouvernante, souvent trompée et bafouée, toujours innocente victime... Et après
tout, Jane WYMAN semble s'en satisfaire, car les productions sont de prestige,
les partenaires de premier choix (Kirk DOUGLAS, Rock HUDSON, Gregory PECK,...),
les metteurs en scène de renom (William WELLMAN, Douglas SIRK, Alfred
HITCHCOCK,...)... Les lauriers et les bravos la couvriront bientôt, et il s'en
faudra de peu qu'elle accède au titre suprême de "première dame des
États-Unis"...
C'était finalement mal connaître ce petit bout de femme au
caractère contrasté, à la vie privée plus cahotique qu'il n'y paraît lorsque
l'on gratte la couche de vernis, au glamour retrouvé lorsqu'elle s'amusait les
jours de bonne humeur à baisser les paupières et à dénuder une épaule pour des
clichés avides, à la discrétion jusqu'au bout savamment entretenue...
Il y a chez Jane WYMAN des ombres et des secrets qui ont la
vie dure, et puis un pacte avec la mort qui épaissit le mystère quand on croit
le brouillard enfin dissipé.... Sa naissance elle-même est entourée de brumes ;
tout juste sait-on à coup sûr qu'elle a été élevée à St. Joseph, une bourgade
pieuse du Missouri ; quant à la date, deux versions s'opposent : les
biographies officielles ont longtemps assuré qu'elle était née le 4 Janvier
1914, ce à quoi les proches, brandissant des registres en bonne et dûe forme,
attestent qu'elle a vu le jour trois ans plus tard - le 5 Janvier 1917 !!! La
raison de cette falsification ? Là encore, les avis divergent : les uns
affirment que la comédienne s'était intentionnellement vieillie dès son arrivée
à Hollywood pour échapper aux lois en vigueur qui régissent le travail des
mineurs et auraient pu constituer un frein à sa carrière (le choix du 4
Janvier, au lieu du 5, résulterait alors
de la coquetterie de faire coïncider la date avec celle de sa fille unique, née
effectivement un 4 Janvier) ; d'autres, comme le biographe Edmund Morris, qui
l'a d'ailleurs consigné dans son hagiographie de Ronald REAGAN,
"Dutch", assurent que la comédienne a menti sur son âge, pour pouvoir
contracter (à 19 ans au lieu de 16 !) un premier mariage avec un dénommé Ernst
Eugene Wyman !... Mais cette union n'est pas avérée !!!...
Le voile sur son nom véritable semble aujourd'hui levé : elle
serait née Sarah Jane MAYFIELD ; ses parents, Manning J. MAYFIELD et Gladys
Hope CHRISTIAN, auraient divorcé quand l'enfant avait 4 ans, et son père serait
décédé d'une pneumonie, dès l'année suivante, à seulement 27 ans... Veuve et
enfant seraient alors parties pour Cleveland, où la petite Jane aurait été
confiée à la bienveillance de voisins aimants mais stricts, les Fulks, pendant
que la mère aurait vainement tenté de faire l'actrice... La petite Jane aurait
dès lors pris le patronyme de ses nouveaux tuteurs, pour s'appeler Sarah Jane
FULKS...
Sa première chance, son premier atout, Jane la doit à sa voix,
une voix gaie et entraînante, qui, au sortir de la Lafayette High School, la
conduit à entamer sa destinée par la radio ; nous sommes en 1930, elle se fait
appeler pour le moment Jane DURRELL, et ces premiers pas encourageants la
guident à 15 ans vers la ville "lumière", Hollywood, où, pour
l'heure, elle joue les "chorus girls"dans une poignée de petites
productions, où ses participations ne sont pas toujours créditées... En 1936,
elle signe un contrat avec Warner Bros., et, trois ans plus tard, obtient son
premier rôle important dans "Torchy Plays With Dynamite"...
Il faut attendre 1945 pour qu'elle se révèle vraiment, grâce à
Billy WILDER, dans "Le Poison (The Lost Weekend)", où elle fait preuve
d'une solide abnégation, en compagne patiente et désarmée d'un alcoolique
patenté (impeccable Ray MILLAND)... Jane WYMAN est saluée par la critique,
ainsi que par une première nomination à l'Oscar de la Meilleure Actrice (elle
sera également nominée dans la même catégorie en 1952 et 1955), prélude à une
série de rôles de femmes fragiles, souvent victimes d'une société sans
concession... La consécration et l'Oscar tant convoité interviennent trois ans
plus tard, grâce à "Johnny Belinda (id.)" de Jean NEGULESCO : Jane
interprète une jeune sourde-muette, qui tombe enceinte après un viol, suscitant
le scandale dans la communauté ; l'actrice s'est longuement préparée à ce rôle,
passant six mois dans une école spécialisée pour apprendre le lan gage des
signes, allant jusqu'à mémoriser le texte des autres acteurs et jouer son rôle
en se bouchant les oreilles au préalable... En recevant la précieuse statuette
dorée à la cérémonie des Oscar, elle fera un discours aussi bref qu'amusant :
"Comme j'ai gagné ce prix en me taisant, je vais encore faire de même à
présent !"... De fait, nul autre interprète n'avait jusqu'alors remporté
la prestigieuse récompense sur un rôle entièrement muet, et les studios
eux-mêmes étaient sceptiques quant au succès du film ; NEGULESCO, le metteur en
scène, se souvient que lors des rushes, il s'était fait vertement cueillir par
Jack WARNER, le producteur : "On a inventé le cinéma parlant, et toi tu
choisis un sujet de film avec une muette pour héroïne !?"....
Jane WYMAN devient une interprète très demandée ; les années
50 verront une série florissante de rôles au cinéma, principalement des
comédies aseptisées ou des mélodrames déchirants, d'où se détachent notamment
"Le Grand Alibi (Stage Fright)[1950]" d'Alfred HITCHCOCK, "Si
l'on mariait Papa (Here Comes The Groom)[1951]" de Frank CAPRA, mais aussi
"Le Secret magnifique (Magnificent Obsession [1954]" et "Tout ce
que le ciel permet (All That Heaven Allows)[1955]" de Douglas SIRK....
Durant cette même période, elle présente et interprète à la télévision sa
propre série, "Jane Wyman Theater", une anthologie dramatique qui
durera trois saisons...
Elle ne reviendra d'ailleurs au cinéma que de façon sporadique
au début des années 60, notamment pour le rôle de la gouvernante de
"Pollyanna (id.)[1962]"... Elle se retire
définitivement des salles obscures par une dernière comédie, "How To
Commit Marriage [1969]"de Norman PANAMA...
L'esprit de Jane WYMAN est décidément ailleurs, tourmenté,
amer parfois : si son tempérament et son ardeur à la tâche lui ont permis de
faire des rencontres professionnelles inoubliables, si elle entretient des
amitiés solides avec des copines qui ont pour nom Barbara STANWYCK, Loretta
YOUNG,... si elle est une interprète respectée dont on reconnaît aussi le cœur
sur la main (elle organise des galas de charité et des téléthons), elle ne peut
s'empêcher de penser aux ombres de sa vie privée, à ses mariages ratés (combien
au fait ? 4 ou 5 ?)...
Jusqu'à quel point a-t-elle aimé Ronald REAGAN, puis
l'a-t-elle détesté, puis aimé encore durant toutes ces années de reste ? Quelle
part les studios ont-ils occupé dans cette union, qui ressemblait parfois à un
contrat, tant on la disait idyllique ? C'est pourtant Jane elle-même qui
portera le fatal coup de canif sur le contrat, après huit ans d'union, pour un
amour-passade avec le comédien Lew AYRES...
De sa semi-retraite, Jane WYMAN suivra sans mot dire, mais
avec dignité, l'irrépressible ascension politique de son amour perdu, lorsqu'il
sera tour à tour élu gouverneur de Californie, puis Président des États-Unis
pour deux mandats consécutifs, époux aimé et père comblé ? Comme un dernier
défi, et pour donner le change à cet amour ennemi, l'actrice incarnera elle
aussi son plus grand rôle à cette même époque : celui de la matriarche Angela
Gioberti CHANNING, propriétaire de vignoble et J.R. au féminin, durant 227
épisodes dans la saga "Falcon Crest"... entre 1981 et 1989, soit le
temps de la présidence REAGAN... N'avait-il pas eu l'outrecuidance de ne lui
consacrer que deux malheureuses lignes dans sa somme autobiographique ?...
Alors il fallait bien donner le change !!!
La mort, comme le temps, taquineront souvent Jane WYMAN durant
les vingt dernières années de sa vie, mais ils lui laisseront le temps
d'assister à l'évanescence progressive des souvenirs, à l'effacement de tous
les vestiges de son amour enfoui, et à l'apaisement des rancœurs : la mort de
leur fille unique en 2001, la longue dégradation de l'état de santé de Ronald
REAGAN,... et puis sa mort à lui en juin 2004, lui qui avait déjà tout oublié
depuis longtemps, par la force des choses...
Alors, la femme meurtrie, qui, jusque là, s'était tue,
balayant d'un revers de la main toutes les questions indécentes sur Ronald,
feignant de le haïr, se leva de sa retraite, assista aux funérailles, qualifia
le défunt de "grand gentleman" et de "grand Président" et
se mit à pleurer...
Puis elle partit à nouveau dans sa cachette dorée, se recoucha
et appela la mort, l'autorisant à lui prendre la main... Elle le fit
volontiers, sans se hâter, au matin du 10 Septembre 2007, à Rancho Mirage...
Ah ! j'oubliais de vous dire... à
vous qui persistez à juger Jane WYMAN d'actrice trop sage... sachez qu'elle
partage, avec Regis TOOMEY, un bien amusant record, damant au passage le pion à
bien des plantureuses comédiennes que compte la toile blanche et qui auraient
volontiers pris sa place : ils ont échangé tous deux le plus long baiser de
toute l'histoire du cinéma... C'était dans "You're In The Army Now"
de Lewis SEILER, en 1941... et l'effusion dura 3
minutes 5 secondes... montre en main !
Christophe JACOB © Cinéma m’était conté - pour “Les Gens du Cinéma” (Mise à jour le 11/09/2007)
FILMOGRAPHIE :
1932 o Le roi de l’arène / Le kid d’Espagne (The kid from Spain) de
Leo McCarey
avec Eddie Cantor
1933 o Elmer the great
de Mervyn LeRoy
avec
Preston Foster
o All the king’s
horses de Frank Tuttle
avec Eugene Pallette
1934 o Symphonie burlesque (College rhythm) de Norman Taurog
avec Jack Oakie
1935 o La dernière rumba (Rumba) de Marion Gering
avec George Raft
o Stolen harmony d' Alfred L. Werker
avec Lloyd Nolan
o Le roi du burlesque / Le roi du music-hall
(King of burlesque) de Sidney Lanfield
avec Warner Baxter
1936 o Transatlantic
Folies (Anything goes / Tops is the
limit) de Lewis Milestone
avec Bing Crosby
o Cain et Mabel (Cain and Mabel) de Lloyd
Bacon
avec Clark Gable
o CM The
Sunday round-up de William Clemens
avec Dick Foran
o Godfrey / Mon
homme Godfrey (My man Godfrey) de Gregory La Cava
avec
William Powell
o En scène
(Stage struck) de Busby Berkeley
avec
Warren William
o Polo Joe de
William C. McGann
o Chercheuses d’or
of 1937 (Gold diggers of 1937) de Busby Berkeley et Lloyd Bacon
avec Dick Powell
o Smart blonde de Frank McDonald
avec Barton MacLane
o Here comes Carter / Loudspeaker lowdown / The voice of scandal de
William Clemens
1937 o Le
fauve (Bengal tiger) de Louis King
avec Warren Hull
o Ready, willing
and able de Ray Enright
avec Hugh O’Connell
o Rivalité (Slim) de Ray Enright
avec Pat O’Brien
o Le roi et la figurante (The king and the chorus girl) de
Mervyn LeRoy
avec Fernand Gravey
o Voici l’escadre
(The singing marine) de Ray Enright
avec
Dick Powell
o Public wedding
de Nick Grinde
avec
William Hopper
o CM Little
pioneer de Bobby Connolly
avec Carlyle Moore Jr.
o Mr. Dodd takes the
air d' Alfred E. Green
avec
Kenny Baker
o Over the goal
de Noel M. Smith
avec Herbert Rawlinson
o Drôle d’équipe (Wide open faces) de
Kurt Neumann
avec Joe E. Brown
1938 o The spy ring / International spy /
Somewhere in Paris de Joseph H. Lewis
avec
Leon Ames
o He couldn’t say
no de Lewis Seiler
avec Raymond Hatton
o La peur du
scandale / Matière à scandale (Fools for scandal) de Mervyn LeRoy et
Bobby Connolly
avec Carole Lombard
o La foule en délire (The crowd roars) de
Richard Thorpe
avec Robert Taylor
o Les cadets de Virginie (Brother rat) de
William Keighley
avec Wayne Morris
o Torchy plays with dynamite / Torchy Blane… Playing with dynamite de
Noel M. Smith
avec Tom Kennedy
1939 o Descente en ville (Tail Spin) de Roy Del Ruth
avec Alice Faye
o The kid from
Kokomo / Orphan of the ring de Lewis Seiler
avec
Sidney Toler
o Kid Nightingale
George Amy
avec
John Payne
o An angel from
Texas de Ray Enright
avec
Ronald Reagan
o Private detective
de Noel M. Smith
avec
Dick Foran
1940 o Flight angels de Lewis Seiler
avec
Dennis Morgan
o My love came back
de Curtis Bernhardt
avec
Jeffrey Lynn
o Brother Rat and a
baby / Baby be good de Ray Enright
avec Eddie Albert
o Tugboat Annie sails again de Lewis
Seiler
avec Alan Hale
o Gambling on the high seas de George Amy
avec
Gilbert Roland
1941 o Honeymoon
for three de Lloyd Bacon
avec
George Brent
o You’re in the
army now de Lewis Seiler
avec
Jimmy Durante
o Bandits d’honneur
(Bad men of Missouri) de Ray Enright
avec
Arthur Kennedy
o The body
disappears de D. Ross Lederman
avec
Edward Everett Horton
1942 o Larceny, Inc. de Lloyd Bacon
avec Edward G. Robinson
o Espionne de mon cœur / Swing au coeur (My
favorite spy) de Tay Garnett
avec George Cleveland
o Idylle autour du ring (Footlight
serenade) de Gregory Ratoff
avec Victor Mature
1943 o La petite exilée (Princess O’Rourke) de Norman Krasna
avec Robert Cummings
o Make your own bed
de Peter Godfrey
avec
Ricardo Cortez
o The Doughgirls
James V. Kern
avec Charles Ruggles
1944 o Hollywood canteen de Delmer Daves
avec Jack Benny
• Seulement
apparition
o Crime by night
de William Clemens
avec
Jerome Cowan
1945 o Le poison (The lost weekend) de Billy
Wilder
avec Ray Milland
o Nuit et jour (Night and day) de Michael
Curtiz
avec Cary Grant
1946 o One more tomorrow de Peter Godfrey
avec
Reginald Gardiner
o Jody et le faon
(The yearling) de Clarence Brown
avec
Gregory Peck
1947 o Cheyenne (The Wyoming Kid) de Raoul
Walsh
avec Bruce Bennett
o La cité magique (Magic Town) de William
A. Wellman
avec James Stewart
1948 o Johnny Belinda de Jean Negulesco
avec Lew Ayres
• Oscar de la meilleure actrice, USA
• Golden Globe de la meilleure actrice de
cinéma, USA
• Prix de la star féminine la plus populaire
par les Photoplay Awards, USA
o Les travailleurs du chapeau (It’s a
great feeling) de David Butler
avec Errol Flynn
• Seulement apparition
1949 o L’extravagant Monsieur Phillips (A kiss in the dark) de Delmer
Daves
avec David Niven
o Amour en plongée (The lady takes a
sailor) de Michael Curtiz
avec Robert Douglas
o Le grand alibi (Stage fright) d' Alfred
Hitchcock
avec Michael Wilding
1950 o La ménagerie de verre (The glass menagerie) d' Irving Rapper
avec Kirk Douglas
o Vénus en uniforme
(Three guys named Mike) de Charles Walters
avec
Howard Keel
• Seulement apparition
avec Gene Nelson
• Seulement apparition
o Si l’on mariait papa (Here comes the
groom) de Frank Capra
avec Bing Crosby
o La femme au voile bleu (The blue veil)
de Curtis Bernhardt
avec Charles Laughton
• Golden Globe de la meilleure actrice de
cinéma catégorie drame, USA
o CM Screen snapshots: Hollywood awards de Ralph Staub
avec
Broderick Crawford
• Seulement
apparition
1952 o The story of Will Rogers de Michael
Curtiz
avec
Will Rogers Jr.
o Pour vous mon
amour (Just for you) d' Elliott Nugent
avec
Regis Toomey
1953 o Remarions-nous / Chérie, recommençons
(Let’s go it again) d' Alexander Hall
avec
Ray Milland
o Mon grand (So
big) de Robert Wise
avec
Sterling Hayden
1954 o Le secret magnifique (Magnificent obsession) de Douglas Sirk
avec Rock Hudson
o Une
femme extraordinaire (Lucy Gallant / Oil Town) de Robert Parrish
avec Charlton Heston
1955 o Tout ce que le ciel permet (All that heaven allows) de Douglas Sirk
avec Rock Hudson
1956 o Immortel amour (Miracle in the rain) de Rudolph Maté
avec Van Johnson
1959 o Qu’est ce qui fait courir les filles? / Vacances d'amoureux
(Holiday for lovers) de Henry Levin
avec Clifton Webb
1960 o Pollyanna de David Swift
avec Richard Egan
1961 o Bon Voyage! de James Neilson
avec Fred MacMurray
1969 o How to commit marriage de Norman Panama
avec Bob Hope
AUTRE PRIX :
• Golden Globe de la star favorite dans le
monde, USA (1951)
© Philippe PELLETIER pour Les Gens du Cinéma (mise
à jour André SISCOT 11/09/2007)